Pour conclure

    Ainsi nous avons vu les différentes médecines et organisations sanitaires de part et d'autre du globe selon les niveaux de développement des pays. Nous avons donc classé ces pays en trois parties: les pays riches, ceux en développement et ceux en difficulté. De ce fait, on observe alors des systèmes de santé propres à chaque catégorie. La santé et les soins varient et les maladies évoluent en conséquence dans chaque zone. Les pays développés, du fait de leur mode de vie de plus en plus sédentaire et de la pollution, connaissent des maladies (cancers par exemple) que ceux des pays pauvres côtoient moins mais cette population en difficulté subit davantage les ravages des épidémies et des virus (sida, entre autres). Nous pouvons donc conclure que selon le développement du pays, selon la richesse de sa population, de son système de santé et de son mode de vie, la médecine diverge et s'avère propre à chaque situation.

    Dans ce cas, nous sommes en droit de nous interroger sur les limites de la médecine et l'ensemble des facteurs jouant sur son développement. Les pays pauvres parviendront-ils un jour à améliorer leur protection sanitaire? La médecine va-t-elle se transformer en un véritable et définitif luxe au sein des pays riches? Les pays en voie de développement se retrouveront-ils avec la même médecine que nous, français, possédons de nos jours?